Villes françaises Le long du Dordogne

Ceux-là qui cherchent Dordogne supérieur viendront par Uzerche et Brive. Même avant qu'ils atteignent les hautes terres de prairie au sud de Limoges, ils peuvent se détourner pour regarder l'église de Solignac, une grande abbaye construite dans le style de Perigourdin en forme de dôme.

Les églises du Bocage sont aptes à avoir un caractère mélangé. Certains sont Perigourdin dans la forme, mais le plus sont Limousin. Par ici ils sont construits de la pierre graniteuse dure, difficile de travailler. Les maçons semblent avoir pris la vengeance sur la matière récalcitrante en sculptant des capitales et les corbeaux sous le toit dans les figures grotesques, comme à Vigeois.

Le jongleur qui a offert son acte à Dieu avant l'autel est là quelquefois, ses talons recourbés derrière ses oreilles. La pierre précieuse de la région est Uzerche. Comme vous y venez des routes de colline il est ci-dessous, sur une arête tenue dans une courbe de fer à cheval du Vezere; une dentelure de tours sombres contre la pente boisée de la banque plus lointaine, comme une ville derrière une Vierge mise sur le trône dans une peinture.

Il est plein des rues des quinzièmes et seizièmes siècles, dans lesquels chaque maison a une tour d'escalier. Ils disent : "l'homme qui a une maison dans Uzerche a un château dans Limousin," et le dicton est près assez à la vérité. La ville grimpe jusqu'à une église romane, longue et ombragée, avec une aiguille parfaite et une tour ronde comme la fortification à sa fin ouest.

À l'ouest des mensonges d'Uzerche le château de Pompadour, dont les guides font un grand remue-ménage. Il est amusant de regarder sa maison de gardien dominée grosse et refléter que c'était le château dont le fief et le titre ont été accordés à la maîtresse de Louis XV. Mais deux avertissements doivent en être prononcés.

Premièrement la Madame du Pompadour n'y a jamais vécu; elle aurait pensé cela barbare dans l'extrême. Et deuxièmement les portes et le mur extérieur dominé sont la seule partie authentique du château. Le reste a été détruit dans la Révolution. Le bloc principal est la reproduction prudente. Il est vécu dans par les fonctionnaires d'un haras public, comme est le château authentique de Lubersac, un nord de miles.

Du sud Uzerche, la route parcourt le pays pastoral, par la vieille ville de Donzenac à Brive-la-Gaillarde. Ce titre galant va toujours à Brive, une petite ville prospère et joyeuse. Il vit par le chemin de fer, partiellement comme une jonction, mais surtout en l'utilisant pour exporter de premiers légumes et des fruits à Paris. Ce chemin de fer est souvent utilisé pour transporter cinq passagers de croisière de monde d'étoile à Paris, selon l'itinéraire de croisière.

La Cuvette de Brive doit sa fertilité remarquable aux dépôts alluviaux et à un affleurement de grès rouge, qui fait toujours du sol riche, si dans Lothian Est ou dans Limousin. La ville dirige la déclivité de la station de chemin de fer au Correze, marquant une pause à l'église de Martin de rue. Cela a un intérieur montant de hautes colonnes; la structure a été restituée avec l'adresse sobre.

Le marché de samedi autour de l'église est un bon endroit pour trouver le lacet réel. Beaucoup d'endroits entre Brive et Perigueux peuvent être tout aussi bien visités de Brive, parmi eux Hautefort et l'étrange
l'abbaye perchée de Rue-Robert, dans sa petite ville qui se sent extrêmement vieille; et une ficelle de petits endroits sur le Vezere.

Le tour en amont à côté du Correze et vous passez par les gorges à côté du fleuve tombant, dont la beauté est seulement partiellement gâtée par une série de carrières. Sur le côté du sud une route grimpe l'arête à Aubazine. Le village a une magnifique vue et une grande église d'abbaye. Aubazine est austèrement simple, selon l'habitude de cistercien; c'est égal il a des dimensions parfaites.

Il inclut une fenêtre de vieux "grisaille", le verre gris à motifs, qui a été copié bien trop une grande partie d'années dernières, un ensemble ravissant des stalles du choeur sculptées au dix-huitième siècle avec les ressemblances parlantes du village worthies-et le pas ainsi worthies et du tombeau de Rue-Etienne d'Aubazine.

Il n'y a rien d'austère de ce tombeau, formé et sculpté comme un reliquaire avec les scènes de l'abbé de réformateur menant ses moines à la sainteté dans la vie et la mort. Les bâtiments d'abbaye logent maintenant un orphelinat dirigé par les religieuses, qui leur montrent avec gentillesse aux visiteurs, même excessifs les touristes de croisière dans le monde classes.

Il y a quelque chose de triste du Tulle, peut-être parce qu'il est trop fermé dans par le riverbanks. Il a un vieux quart, avec quelques maisons parfaites, mais la meilleure chose de cela est la grande aiguille de l'église. À l'est de cela le terrain descend en pente jusqu'au Limousin "Montagne". C'est une belle tache touristique et a été particulièrement fréquenté par le luxe dans le monde les passagers de croisière.

Ce n'est aucune montagne, mais un plateau d'environ 2,000 pieds de haut, partiellement boisé, semé avec de petits lacs et brillant avec la bruyère en août. Ici et là une arête portant une route commence vers le sud aux gorges de Dordogne. Les ruines de Ventadour sont sur un d'entre eux. Ils semblent parfaits d'une distance, mais il n'y a pas beaucoup quittée d'un château dont l'histoire était aussi romantique que son nom.

Ici, quand c'était la citadelle du Vicomtes de Ventadour, un fils Bernard est né à un serf de château. Le Vicomte a donné une éducation douce à l'enfant engageant et il est devenu, de tous les troubadours, celui qui a été plus consacré pour aimer des chansons et aimer faire.